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Collaborations

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Philippe Chosson

Danseur

Philippe Chosson découvre le travail d’acteur en 1986 auprès de la Cie La Découpe. En 1987, il reçoit le Prix d’humour du Conservatoire d’art dramatique Rhône-Alpes – section improvisation.

Après un bac en philosophie et lettres, il décide de suivre les cours de l’École Internationale de Mimodrame Marcel Marceau (Paris), puis ceux de l’École de Mime Corporel Dramatique Etienne Decroux.

Il s'oriente vers le théâtre gestuel à partir de 1993 en compagnie de Laura Scozzi. Il explore le travail d'assistant auprès de Rachel Bénitah (chorégraphe), Hélène Mathon (metteur en scène).

Sa rencontre décisive avec Bernard Glandier (Cie Alentours) l'amène à la danse en 1997. Suivent d'autres projets chorégraphiques et cinématographiques avec Bruno Dizien, Laura de Nercy, Mathieu Poirot Delpech (réalisateur), Laure Bonicel, Coline Serreau (réalisatrice), Pascal Montrouge, Michèle Rust, Jean-Marc Heim, Héla Fattoumi et Eric Lamoureux, Benjamin Silvestre (réalisateur), Philippe Saire, Lionel Baier (réalisateur) et Christian Rizzo.

 

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Isabelle Duthoit

Chanteuse

Isabelle Duthoit, après avoir obtenu ses premiers prix de clarinette au CNR de Tours et de Paris, rentre au CNSM de Lyon en 1991 dans la classe de J. Di Donato. Elle reçoit ses diplômes et son premier prix de clarinette en 1995, avec mention très bien. Etant particulièrement intéressée par les musiques d'aujourd'hui, elle participe au sein de ce même conservatoire aux travaux d'Atelier Instrumental du XXe siècle, dirigé par Gibert Amy. Avec J. Di Donato, elle crée "le temps du souffle", pièce de G. Amy, pour 2 cors de basset à Radio France.

En 1995, 94, 98, elle effectue des tournées aux Etats-Unis en récital solo et en duo avec J. Di Donato.

Elle joue de la musique de chambre avec des interprètes tels que Sonia Wieder Atherton, Raphael Oleg, pour jouer le quintette de Brahms, les Contrastes de Bartok, Pierrot Lunaire de Schoenberg... Elle est invitée à plusieurs reprises à participer au festival "Musique Action" Vandoeuvre les Nancy, Musique en Scène de Lyon, Uzeste Musical.

Tournée en Roumanie et en Ukraine avec Tricot et Cie. Crée en 1997, deux à cinq ensembles, à géométrie variable où se côtoient musique médiévales contemporaines, improvisés.

Elle est clarinettiste au Trio Krizda avec Christine Wodrascka (piano) et Gunda Gottschalk (violon). Elle joue dans Archipel projet d'Emmanuel Petit avec Fabrice Charles, Sophie Agnel, Pascal Battus, Lionel Marchetti, Thierry Madiot.

Crée en "3 D" la voix un trio avec J. Di Donato (batterie) et D. Chiesa. Crée le trio Bord de Mhere, projet photo/phonographique et musique avec Kristof Guez et Marc Pichelin. Participe a plusieurs projets avec Camel Zekri, Michel Doneda, Géraldine Keller. En 1994, elle crée avec J. Di Donato, le festival "Fruits de Mhere", les champs de l'improvisation.

Depuis 1997 elle enseigne la clarinette et l’improvisation au Conservatoire à Rayonnement Départemental d’Evry (Essonne). Etant depuis toujours attirée par la voix, elle a développé seule une technique de chant singulier, un langage avant le langage. Elle chante et improvise en solo et en duo avec Phil Minton. En 2008, elle est résidente à la villa Kujoyama à Kyoto (Japon) pour réaliser une performance vocale en solo en lien avec le monde sonore du théâtre Nô et Bunraku.

 

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Philippe E. Colas

Compositeur belge de musique électro-acoustique.

Après des études musicales à l’Académie Grétry de Liège en guitare classique et théorie musicale, il part cinq ans à Londres pour s’imprégner de la scène musicale anglaise. D’une part en formant un groupe de musique art rock ‘Eden’ et d’autre part en composant des chansons avec Geoffrey Osborne pour la scène théâtrale. Dans les années 2000 à Bruxelles, sa musique évolue vers une direction plus expérimentale, en créant notamment un ensemble dans lequel l’improvisation a une place importante. Cela se concrétise dans le concept ‘beursplatform’, un ensemble musical et une plateforme où le son, l’image, la performance, la technologie et la poésie se rencontrent. Ce qui donne lieu à plusieurs concerts/performances dans des galeries, centres d’art ou académies. Par la suite d’autres collaborations se poursuivent. En 2005 avec Benoît Lachambre pour le ‘Festival Antipodes’ à Brest. Ou en 2007 lors d’une pièce écrite en collaboration avec David De Buyser, qui est utilisée par l’artiste Néerlandaise Judith Nab pour son installation ‘Nightshot’. Au début des années 2010 sort un nouveau projet en solo ‘Live a quiet life work with your hand’. De composition épurée au piano et d’une recherche sur la composition et l’esthétique du son. Un nouveau projet est prévu pour fin 2014.

 

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Alessandra Cristiani
Danseuse

Alessandra vit et travaille à Rome.
Elle commence sa pratique artistique en s’initiant au théâtre avec des compagnies proches de l’Odin théâtre comme Teatro Potlach, Toni Cots, Jean Paul Denizon, Teatro de los Andes, Nino Racco, Naira Gonzale etc. En 1997, elle reçoit le Premio Excelsior comme meilleure actrice dans le court métrage La foto réalisé par Sara Masi. Son exploration approfondie du training de l’acteur va peu à peu la mener à la danse.
Elle étudie la danse contemporaine avec Moses Pendleton, Giovanna Summo, Dominique Dupuy ; la technique du mime transparent avec Hal Yamanouchi ; Respiration et Mouvement avec l’entraîneur Giuseppe Ravi ; le Qi gong avec Solene Fiumani ; l’Ideokinesis, placement et repos constructif avec Ursula Stricker.
Elle découvre la danse butoh avec Masaki Iwana, Akira Kasai, Akaji Maro, Tadashi Endo, Ko Murobushi, Yoko Muronoi, Hisako Horikawa, Toru Iwashita, Daisuke Yoshimoto, Atsushi Takenoushi, Koshou Nanami.
Elle est diplômée en Méthodologie et Critique du spectacle en rédigeant une thèse expérimentale : Masaki Iwana et la tradition du butoh blanc ; L’intensité du vide, une méthodologie de la danse.
Elle suit des cours de formation à l’Institut Européen de Shiatsu (IES) de Rome.
Comme interprète, elle travaille depuis 2002, avec la compagnie de danse Habillé d’eau de Sylvia Rampelli. Elle participe à chacune des créations qui seront tour à tour lauréates pour Enzimi Danza 2002, Generazione scenario (2003), Movin’up; Premio per il circuito dei Giovanni Artisti Italiani ; Premio all’International Teaterfest de Sarajevo (2004),Biennale di Venezia 37, Premio Speciale Ubu (2006), Fabbricca Europea ; ZTL pro (2008).
Elle travaille avec les auteurs les plus représentants du théâtre de recherche italien notamment  Alessandro Serra de Teatropersona avec qui elle obtient le Premio européo Beckett and Puppet en 2006 tandis que la pièce Trattato dei manichini, participera au prestigieux festival de Busan en Corée du sud en mai 2009 et au Strastnom Festival de Moscou en septembre 2011
En septembre 2009, elle commence un triptique avec le danseur Akira Kasai –Progetto Eliogabalo (Rome septembre 2009) ; L’Anarchico incoronato Secondo Studio su Artaud (Rome mai 2010) ; Aetas Aurea. L’eta dell’oro. Insurrezione e rovina (Palerme, septembre 2010) avec le soutien de Paj Europe The Japan Foundation Performing Arts Japan Programme for Europe.
En 2012 elle participe au spectacle Tutto per bene de Gabriele Lavia produit par teatro di Roma.
Elle crée et dirige avec la compagnie Lios, le festival international de danse butoh Trasform’azioni avec le soutien du Teatro Furio Camillo et du Teatro dell’ Orologio de Rome. En 2000, elle crée son premier solo Non si puo rubare la luna. Suivront Fiori, Notturno, In canto, Geynest Under gore, Langelo, Entrana, Irelallabye, Oro e Rosso, Materia e vuoto, io è un altro, nudo.nuda, Miele, Opheleia, qu’elle présentera entre autre à Inequilibrio 2006, Castiglioncello, ZTL pro, Scenari Independenti, Teatri di Vetro, Teatro palladium Sofia Dance week 2009 comme représentante de la danse en Italie.
En 2012, elle est chorégraphe en résidence pour deux ans à l’Academia Filarmonica di Roma.
Elle donne des cours de formation pour danseurs professionnels au IALS de Rome
Ses écrits sur la danse ont été publiés dans diverses revues comme Hic sunt Leones, Editoria e spettacolo.

 

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Marie Drach

Vidéaste et plasticienne

Après ses études à l’Ecole Nationale Supérieure des beaux-arts de Nancy puis de Paris, Marie Drach engage des recherches personnelles en tant que plasticienne. Ses champs de création sont ouverts et multiples, elle ne s’attache pas à un médium particulier, mais le langage cinématographique est celui qui lui permet de donner sa vision au plus près de la sensation des images qui l’habitent. Elle réalise et produit son premier film Traverses avec la danseuse et chorégraphe Camille Mutel en 2006, édité au Grand Souffle Editions en 2007. Marie Drach travaille, par ailleurs en collaboration avec des danseurs chorégraphes en intervenant dans les choix scénographiques, la lumière ou encore l’image filmée au sein des créations.

 

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Juan Jose Eslava
Compositeur

Eslava travaille actuellement sur les commandes reçues du Centre National de Diffusion Musical espagnol (CNDM), de l’Orchestre Symphonique de Navarre, de l’Ensemble Pluriel et de la Compagnie de danse Li(luo). Il a reçu des commandes d’institutions reconnues et de performeurs espagnols, français et japonais. Ses travaux les plus récents sont « l’œil » (quartet de saxophone avec musique électronique), écrit pour le Sigma Project sax quartet, « Senderos de la risa » (orchestre symphonique, musique électronique et 9 solistes) écrit pour l’orchestre de la Communauté de  Madrid grâce à la commission du Consejeria de Cultura y Turismo of Madrid’s Community ; « under construction » (guitare et musique électronique) écrite pour le guitariste japonais Norio Sato; « Mascaras sonoras » et une installation sonore, commandes du Musée Gustavo Maetzu. Il a entre autres collaboré avec le joueur de Koto Kimura Maya.
Sa musique a été présentée dans d’importants festivals comme l’International-Computer-Music-Festival (Corée, 2007 et 2010), le Transitio-Festival (Mexique, 2007), l’Argentine-Contemporary-Music-Festival (Argentine, 2007 et 2009), le World-Saxophone-Congress (Slovénie, 2006), Festival Résonnances (Paris, 2004), la Kitara Soi (Finlande, 2010) et les plus importants festivals en Espagne : Sinkro Festival (2007), the International-Music-Festival-of-Alicante (2010), Punto-de-encuentro (2011), Musikaste (2011), Il-Circuito-de-Musica-Contemporanea-del-pais-vasco(2011). Ces performances se sont déroulées dans des salles de concerts reconnues comme l’Ircam (Paris), the Seoul Art center (Corée), les plus importantes salles de concerts du Japon (Tokyo Opera City, Meguro Bashomon  Hall, Shibuya Classics, Kunitachi College of Music, l’Institut Cervantes de Paris, de Tokyo et les plus importantes salles de concert en Espagne : National Auditorium de Madrid et Teatros del Canal (Madrid).Il a reçu le prix ICMA de Composition régionale à l’International-Computer-Music-Conference 2008, et a été finaliste du Transito-International-Electronic-Art-Competition 2007.Comme chercheur, il a collaboré avec l’IRCAM et Kunitachi-College-of-Music. Il a reçu le soutien de la ville de Madrid pour Collaborations Artistiques Internationales en 2008. Il a aussi collaboré à un projet sur l’étude du développement esthétique dans l’enfance et a publié différents articles dans ce domaine.Il a collaboré avec des performeurs tels 2e2m, Court-Circuit, Didier Aschour, Pascal Rophé, Rody van Gemert, Norio Sato, Rie Watanabe, Yoshiko Kanda, Nomad-Ensemble et des artistes espagnols reconnus comme José Ramon Encinar, Ernest Martinez Izquierdo, Plural Ensemble, Sigma Project et Josexto Silguero.Il a donné des séminaires autour de son travail à l’Académie Sibelius (Helsinki), Kunitachi college of Music (Tokyo) et The Korea-National-University-of-Art (Seoul)Il est un membre de l’Association espagnole pour la musique électronique (AMEE) et l’Association des Compositeurs Basques et de Navarre. Slava a étudié la composition à Paris et à Saragosse, suivant l’enseignement supérieur dans ces deux pays : Conservatoire national de Musique de Paris et Conservatoire Supérieur de Saragosse. Il a complété sa formation à l’Ircam (Composition et Programme de Musique et Ordinateur), les cours de composition de Szombathely, Veruela, Centre Acanthes, Fondation Royaumont Voix Nouvelles, et au festival d’Art lyrique d’Aix-en-Provence. Il a travaillé avec des compositeurs comme Claude Ballif, Teresa Catalan, Marc André Dalvabie, Brian Ferneyhough, Gérard Grisey, Jonathan Harvey, Michael Levinas, Philippe Leroux, José Manuel Lopez-Lopez, Mikhail Malt, Philippe Manoury, Luis Naon, Emmanuel Nunes et Yizak Sadai.

 

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Matthieu Ferry

Eclairagiste, scénographe né en 1974.

Après une formation pratique comme éclairagiste en troupe de théâtre amateur et des études d’opérateur prise de vue vidéo, Matthieu Ferry présente son premier spectacle professionnel en tant qu’éclairagiste en 1996 (Le Roi Lear) à Lons le Saulnier. La même année, il entre à l’Ecole de la rue Blanche (E.N.S.A.T.T.) en section lumière où il travaille avec P.Pradinas, F. Racillac, M.Raskine, C. Stavisky, O.Py, J.Pommerat. À sa sortie en 1999 et jusque 2001, il travaille au théâtre, à l’opéra, dans la marionnette en compagnies avec C. Stavisky, J. Falguières, V. Vidocq, M. Waniowsky, B. Vantusso, C. Baqué, G. Lumbroso, P. Labaune etc. En 2001, il commence à s’intéresser de plus près au rapport de l’espace et de la lumière et se met à concevoir des décors de théâtre avec Pour un oui ou pour un non avec Emmanuelle Laborit, spectacle en langue des signes. Il devient par conséquent aussi scénographe.De 2001 à 2006, il continue à travailler au théâtre en croisant de temps en temps des expériences à l’opéra avec A. Campo (l’Histoire du soldat), M. Evesque (Lynch), E. Houzé (Agatha), G. Lumbroso (Dom Juan, Liliom, roberto Zucco), F. Meier (Les Troyennes), S. Tranvouez (Les Elégies de Duino, Katherine Barker) dans diverses institutions théâtrales.Il lie sa formation vidéo à son travail scénique dans les spectacles de P. Labaune (Prigent, La Princesse blanche, Et jamais nous ne serons séparés etc.), de C. Baqué (Bobby Fisher vit à Passadena, Septembre blanc, Anatole etc.)En 2006, il oriente son travail de la lumière vers une écriture en partition et en improvisation en direct : Proust (avec I. Paquet), Et jamais nous ne serons séparés, Meurtres (avec P. Labaune), Il ne faudra plus compter sur moi (avec la plasticienne M), Mes bibliothèques (avec F. Meier). Il travaille dans le domaine du cirque avec Y. Demichelis (Je est ou tu suis) ; de la danse avec J. Jeanne (Trois petits points) ; collabore avec D. Mocellin sur le spectacle Paranoïa, G. Baron pour adieu l’Institut Benjamenta, et C. Baqué pour le décor d’Eaux Dormantes. Il crée à Mexico DF La Llama de mi Vida avec M. Ulloa. En 2008 la Cie UNTM (MC2, Minimal Connotatif) G. Leveugle ; à Bruxelles avec N. Carcaud pour Au plus près. En 2009 il crée la lumière pour un opéra (J.C. Marti, P. Carbonneaux) en collaboration avec des comédiens sourds. En 2011, l’Institut Benjamenta pour Nicolas Luçon, Alice Compagnie l’Escabelle. En 2012, suivi de la collaboration avec Claude Baqué pour La Dame de la Mer au Théâtre Bouffes du Nord (Paris) avec la chanteuse CamillePour The Free Light Medieval Blues Experience qu’il conçoit et interprète en 2009, il travaille autour de l’interaction de la partition lumière et musique générée par l’harmonica ou le chant.Il travaille avec Alexis Forestier en 2008 (Purgatory party) ainsi qu’en 2010 (La Divine Party) et 2011 autour de la psychiatrie institutionnelle (le Village de Cristal). En 2012 ils travaillent sur un opéra (Espèce d’Espace) puis Changer la vie (avec André Robillard et le Mystère des mystères.Il collabore en 2008 avec Léa Drouet pour Tableau d’une exécution au Festival « Premiers Actes ».Il poursuivent leur collaboration en 2009 pour la Maladie de la Mort. En 2011, il la dirige dans les Elégies de Duino au Théâtre Poème de Bruxelles et réalise la scénographie et la lumière de Quelqu’un va venir. En 2012 ils entament une collaboration autour de l’improvisation musicale de groupe au Théâtre National de Belgique. En 2010 il rencontre la danse butoh et entame un travail sur le nu avec Camille Mutel avec Effraction de l’oubli (2010) puis Nu (ǝ) muet (2012) et Soror (2013).

 

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Gilles Gobeil
Compositeur

Après des études en technique d’écriture, Gilles Gobeil a complété une maîtrise en composition à l’Université de Montréal.

Depuis 1985, il se consacre à la musique acousmatique et à la musique mixte. Ses compositions se rapprochent de ce que l’on nomme « cinéma pour l’oreille ». Plusieurs de ses pièces sont inspirées d’œuvres littéraires et tentent à leur tour de donner à voir par le moyen du sonore.

Gilles Gobeil est lauréat de plus d’une vingtaine de prix sur la scène nationale et internationale dont aux concours Ars Electronica (Autriche), Bourges (France), Stockholm Electronic Arts Award (Suède), CIMESP (Brésil), Métamorphoses (Belgique), Ciber@rt (Espagne), Luigi-Russolo (Italie). Son disque Trilogie d’ondes a reçuu le Prix Opus 2004-05 (Disque de l’année) du Conseil québecois de la musique (CQM) ; le disque Le contrat a été finaliste dans cette même catégorie en 2003-04.

Il a reçu des commandes d’œuvre de Codes d’Accès (Montréal), empreintes DIGITALes (Montréal), Groupe de musique expérimentale de Bourges (GMEB, France), Musiques &Recherches (Belgique), Réseaux des arts médiatiques (Montréal), Société Radio-Canada, Zentrum für Kunst und Medientechnologie (ZKM, Allemagne) et des interprètes Suzanne Binet-Audet, René Lussier et Arturo Parra.

Il a été compositeur en résidence à Banff (Canada, 1993,95), Bourges (France,1991), GRM (France, 1993), ZKM (Allemagne, 2005, 06, 07) et compositeur invité du DAAD (Allemagne, 2008).

Gilles Gobeil est professeur en technologies musicales au Collège de Drummondville (depuis 1992) et a été professeur invité de composition électroacoustique à l’Université de Montréal (2005-06) et au Conservatoire de Musique de Montréal (2007). Il est memebre de la Communauté électroacoustique canadienne (CéC), compositeur agréé du Centre de musique canadienne (CMC) et co-fondateur de Réseaux, un organisme dédié à la production d’événements en arts médiatiques.

 

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Ivan Gruselle
Musicien

Compositeur, chanteur, pianiste, clown blanc dans « Helmut et Champion » (Avignon-OFF 2008). Personnage et musicien dans « Le Lit » (Mamaille). Compositeur de musique de scène pour « L’Enfer » (Cie Label Brut, Avignon-OFF 2009), « La bonne âme du Se-Tchouan » (Cie du Jarnisy), chant rock dans « KRIBI ». Il réalise également des répertoires allant du solo à l’orchestre comme « La Philharmonie du bon vide » (Mamaille). Il improvise avec la danse (Cie Fatoumi-Lamoureux), pour des lectures (M.Lonsdale), le cirque (« Chantiers de Cirque »). Il répond également à des commandes d’écriture musicale.

 

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Marc Pujol

 

 

 

 

 

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